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 امتحانات جهوية مصححة في الفرنسية لأولى باك

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مُساهمةموضوع: امتحانات جهوية مصححة في الفرنسية لأولى باك   امتحانات جهوية مصححة في الفرنسية لأولى باك Dc3srhibiyuaw8ppyxj6الثلاثاء أغسطس 23 2011, 02:54

امتحانات جهوية مصححة في الفرنسية لأولى باك

Texte:
Ma mère se leva pour se préparer. Elle changea de chemise et de
mansouria, chercha au fond du coffre une vieille ceinture brodée d'un
vert passé, trouva un morceau de cotonnade blanche qui lui servait de
voile, se drapa dignement dans son haïk fraîchement lavé.
C'était, en vérité, un grand
jour. J'eus droit à ma djellaba blanche et je dus quitter celle de tous
les jours, une djellaba grise, d'un gris indéfinissable, constellée de
taches d'encre et de ronds de graisse.
Lalla Aïcha éprouva toutes sortes de difficultés à s'arracher du matelas où elle gisait.
J'ai gardé un vif souvenir
de cette femme, plus large que haute, avec une tête qui reposait
directement sur le tronc, des bras courtes qui s'agitaient constamment.
Son visage lisse et rond m'inspirait un certain dégoût. Je n'aimais pas
qu'elle m'embrassât. Quand elle venait chez nous, ma mère m'obligeait à
lui baiser la main parce qu'elle était chérifa, fille du Prophète, parce
qu'elle avait connu la fortune et qu'elle était restée digne malgré les
revers du sort. Une relation comme Lalla/Aïcha flattait l'orgueil de ma
mère.
Enfin, tout le monde s'engagea dans l'escalier. Nous nous trouvâmes bientôt dans lame.
Les deux femmes marchaient à
tout petits pas, se penchant parfois l'une sur l'autre pour se
communiquer leurs impressions dans un chuchotement. A la maison, elles
faisaient trembler les murs en racontant les moindres futilités,
tellement leurs cordes vocales étaient à toute épreuve; elles
devenaient, dans la me, aphones et gentiment minaudières.
Parfois je les devançais,
mais elles me rattrapaient tous les trois pas pour me prodiguer des
conseils de prudence et des recommandations. Je ne devais pas me frotter
aux murs: les murs étaient si sales et j'avais ma superbe djellaba
blanche,je devais me moucher souvent avec le beau mouchoir brodé pendu à
mon cou, je devais de même m'écarter des ânes, ne jamais être derrière
eux car ils pouvaient ruer et jamais devant car ils prenaient un malin
plaisir à mordre les petits enfants.
- Donne-moi la main, me disait ma mère.
Et cinq pas après:
- Va devant, tu as la main toute moi
Je reprenais ma liberté mais
pour un temps très court. Lalla Aïcha se proposait de me guider dans la
cohue. Elle marchait lentement et tenait beaucoup de volume. Un
embouteillage ne tardait pas à se former. Les passants nous lançaient
toutes sortes de remarques déplaisantes mais finissaient par se porter à
notre secours. Des bras inconnus me soulevaient du sol, me faisaient
passer par-dessus les têtes et je me trouvais finalement dans un espace
libre. J'attendais un bon moment avant de voir surgir de la fou)e les
deux haïks immaculés. La scène se renouvela plusieurs fois durant ce
voyage. Nous traversâmes des rues sans nom ni visage particuliers.
J'étais attentif aux conseils de mes deux guides, je m'appliquais à me
garer des ânes, butais inévitablement dans les genoux des passants.
Chaque fois que j'évitais un obstacle, il s'en présentait un autre. Nous
arrivâmes enfin au cimetière qui s'étend aux abords de Sidi Ali
Boughaleb. J'esquissai un timide pas d'allégresse.



La boite à merveilles. A. Sefrioui.





I. Onestions de Compréhension

1) Présentez brièvement l'auteur et son roman

2) Situez le passage dans l'œuvre.

3) « C'était, en vérité un grand jour».

Pourquoi le narrateur parle-t-il d'un grand jour ?

4) Le narrateur et sa mère éprouvent-ils le même sentiment à l'égard de Lalla

Aïcha ? Justifiez votre réponse par des expressions tirées du texte.

5) La mère du narrateur et son amie Lalla Aïcha ne se parlent pas de la même façon

à l'intérieur de la maison et dans la rue. Illustrez mieux cette constatation en

complétant le tableau suivant:





A l'intérieur de la maison

Dans la rue



6)La de******ion de Lalla Aïcha faite par le narrateur est-elle valorisante ou

dévalorisante ? justifiez votre réponse par des expressions tirées du texte.

7) Pourquoi certains termes sont-ils écrits en gras?

Identifiez la figure de style dans la phrase suivante:

«J'attendais un bon moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés ».

9) Relevez les termes relatifs au champ lexical de la foule.





11- Production écrite:

Sujet: Il y a sûrement une personne qui a produit sur vous un effet. Faites d'elle une de******ion physique et morale.









Réponses


I. Compréhension


1) C'est Ahmed Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il
est né à Fès en 1915 de parents berbères. Il est séduit depuis son
enfance par l'école française qui l'a beaucoup marqué. Il a occupé
plusieurs fonctions dans l'administration publique. Son premier roman
fut « Le chapelet d'ambre ». il est mort en 2004. « La boîte à
merveilles» est son roman autobiographique dans lequel il retrace
le parcours d'une vie simple d'un enfant né dans la médina de Fès. .
2) Ce passage est situé juste après le retour du petit enfant « Sidi Mohammed» du
Msid. C'était un mardi. A la maison, il a trouvé sa maman malade, elle soufrait


d'une migraine. Son amie Lalla Aïcha est venue lui rendre visite.
3) Le narrateur parle d'un «grand jour », car, d'abord il n'irait pas à l'école
coranique où il devait réciter quelques versets de coran, et ensuite, il devait
mettre sa djellaba blanche et partir visiter le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb.
4) Le narrateur et sa mère m'éprouvent pas le même sentiment à l'égard de Lalla Aïcha.
Au narrateur, elle inspire un certain dégoût« son visage lisse et rond
m'inspirait un certain dégoût. Je n'aimais pas qu'elle m'embrassât ».
Quant à sa mère, elle aime bien Lalla Aïcha : « une relation comme Lalla Aïcha flattait l'orgueil de ma mère ».

5)


A l'intérieur de la maison

Dans la rue

- elles faisaient trembler les murs...
leurs cordes vocales étaient à toute épreuve.


- Les deux femmes marchaient à tout
petits pas, se penchant l'une sur l'autre
pour se communiquer leurs Impressions
dans un chuchotement.
- elles devenaient aphones et gentiment
minaudières.
6)La de******ion de Lalla Aïcha faite par le narrateur est dévalorisante :
« cette femme plus large que haute, avec une tête reposait directement
sur le tronc, des bras courts qui s'agitaient constamment. Son visage
m'inspirait un certain dégoût ».
7) Certains termes sont écrits en italique comme djellaba, haïk, mansouria, car ils
sont d'origine arabe.
«l'attendais un bon moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks
immaculés ».
il s'agit d'une synecdoque
9) Le champ lexical de la foule: la cohue, un embouteillage, les passants, la foule,


II- Production écrite
Il arrive souvent à l'homme d'être impressionné par une personne qu'il a côtoyée à
un moment de sa vie. Cette impression peut être produite soit par son physique ou par sa personnalité.
C' est justement ce qui m'est arrivé lorsque j'étais au lycée avec une de mes camarades de classe. Elle s'appelait Samira.
Personne ne pouvait nier sa beauté angélique. Elle n'avait rien à envier
aux reines de la beauté. Elle était d'une taille moyenne, ses cheveux
dorés encadraient son petit visage rond. Son minuscule front, à peine
visible, était recouvert d'une frange tombant sur des sourcils
relativement épais, et d'une courbe presque parfaite.
Des yeux noisettes, dont le regard perçant,
exprime une intelligence rare ce qui lui donnait beaucoup d'attrait
c'était son élégance. Elle avait un goût raffiné dans le choix des
vêtements qui lui allaient à merveille. Elle avait un choix soigné dans
le mariage des couleurs. On dirait une princesse.
Tous les élèves sans exception, cherchaient
son amitié. Personnellement, ce qui m'attachait à elle, ce n'était pas
seulement son physique qui pouvait inspirer les artistes, mais aussi son
moral. Cependant, je n'ai jamais osé lui dévoiler mes véritables
sentiments envers elle, car personne ne pouvait se permettre de
l'aborder sur cette question. Alors, je me *******ais de l'admirer en
silence. Elle était d'une gentillesse inouie. Par son comportement, elle
exigeait le respect de tout le monde; aussi bien les élèves que les
professeurs.
Son altruisme était remarquable puisqu'elle
était toujours prête à rendre service à ses camarades pour lesquels
elle avait un amour innocent. Sa voix joyeuse, à peine perceptible,
déridait et réjouissait les plus taciturnes.
Lorsqu'on dirait, par mégarde, des choses
qui pourraient porter atteinte à la pudeur, elle rougissait. Elle avait
des sentiments nobles et fragiles. C'était un ange ayant une forme
humaine.
A force de m'approcher d'elle, elle avait
réussi à exercer sur moi un effet inde******ible. Son comportement avait
influencé le mien. Je suis redevenu plus sage, plus indulgent, plus
courtois. J'avais acquis des qualités inconnues de moi, et en même
temps, j'ai abandonné mon affreux égoïsme et mon audace excessive.
D'ailleurs, mes parents l'avaient bien remarqué.
En quittant le lycée, je l'ai abandonnée à
jamais. Malgré cela, je garde de cette personne des souvenirs
inoubliables. Je suis, actuellement, dans l'incapacité d'oublier son
image qui ne quitte jamais mon esprit. Je ne garde d'elle que la
nostalgie du bon vieux temps




EPREUVE N° 1

ISMENE: Tu sais, j'ai bien pensé, Antigone
ANTIGONE: Oui
ISMANE: J'ai bien pensé toute la nuit. Tu es folle.
ANTIGONE: Oui
ISMANE: Nous ne pouvons pas
ANTIGONE, après un silence, de sa petite voix.
Pourquoi?
ISMANE: Il nous ferait mourir
ANTIGONE: Bien sûr. A chacun son rôle. Lui, il doit nous faire mourir, et nous,
nous devons aller enterrer notre frère. C'est comme cela que ça été
distribué. Qu'est ce que tu veux que nous y fassions ?
ISMENE: Je ne veux pas mourir.
ANTIGONE, doucement
Moi aussi j'aurais voulu ne pas mourir.
ISMENE: Ecoute, j'ai bien réfléchi toute la nuit. Je réfléchis plus que toi.
Toi, c'est ce qui te passe par la tête tout de suite, et tant pris si c'est
une bêtise. Moi, je suis plus pondérée. Je réfléchis.
ANTIGONE: Il y a des fois où il ne faut pas trop réfléchir.
ISMENE: Si, Antigone. D'abord c'est horrible, bien sûr, et j'ai pitié moi
aussi de mon frère, mais je comprends un peu notre oncle.
ANTIGONE: Moi je ne veux pas comprendre un peu.
ISMENE: Il est le roi, il faut qu'il donne l'exemple.
ANTIGONE: Moi, je ne suis pas le roi. Il ne faut pas que je donne l'exemple,
moi. . . Ce qui lui passe par la tête, la petite
Antigone, là sale bête, l'entêtée, la mauvaise, et puis on la met dans
un coin ou dans un trou. Et c'est bien fait pour elle. Elle n'avait qu'à
ne pas désobéir!
ISMENE: Allez! Allez !........ Tes sourcils joints, ton regard droit devant toi et
te voilà lancée sans écouter personne. Ecoute-moi. J'ai raison plus souvent que toi.
ANTIGONE: Je ne veux pas avoir raison.
Jean Anouilh. Antigone



\

I-Ouest ions de Compréhension

1)

A- A quel genre appartient ce texte ?
B- Justifiez votre réponse par trois indices tirés du texte.
2) Situez le passage dans la pièce dont il est extrait en résumant les événements précédents. .
3) Il semble que les deux sœurs partagent un secret. Lequel ?
4) « il nous ferait mourir ? »
- qui désigne - t- elle par « il » ?
5)« C'est comme cela que ça été distribué...»
a- à quel registre de langue appartient cette phrase ?
b- de quelle distribution s'agit-il ?
6) « Moi aussi j'aurais bien voulu ne pas mourir »
a- Antigone, veut elle réellement mourir ?
b- Comment justifiez-vous l'emploi du mode du verbe vouloir »?
7) « Ecoute, j'ai bien réfléchi toue la nuit. Je suis l'aînée. Je réfléchis plus que toi ».
« Ton regard droit devant toi et le voilà lancée sans écouter personne ».
- A partir de ces deux répliques, dégagez les traits de caractère respectifs des deux
sœurs en complétant le tableau suivant:



Traits de caractère
Antigone

Ismène


Antigone répond à sa sœur en exprimant trois refus
a- quels sont ces refus ?
b- que cherche -t-elle d'après ces refus ?
9) « .. ..et puis on la met dans un coin ou dans un trou... »
- quels sens peut-on donner aux mots: « coin» et « trou» ?


II - Production écrite:
Sujet: Actuellement, les parents se plaignent souvent de leurs enfants.
Ces derniers, à leur tour, reprochent à leurs parents d'être
autoritaires envers eux. Essayez d'expliquer ce phénomène, à partir de
votre expérience personnelle et de vos connaissances, Apportez, si c'est
possible, une solution à ce conflit.


Réponses
I- Compréhension
1- a- Ce texte appartient au genre théâtral.
b- Les trois indices:
- nom des personnages - le dialogue
- les didascalies.
2- Ce passage est situé après le retour d'Antigone de l'extérieur
voulant ainsi enterrer le cadavre de son frère Polynice. Or, le roi,
Créon avait interdit que le corps soit enterré parce qu'il pensait que
Polynice était un traître et par sa conduite, il a causé le désordre
dans la cité. Cependant, Antigone avait décidé de transgresser
la loi ,de son oncle Créon en procédant à l'enterrement de son frère Polynice.
3- Les deux sœurs partagent un secret: l'enterrement de leur frère Polynice.
4- «Il nous ferait mourir »
« il » désigne le roi Créon, leur oncle.
5- «C'est comme cela que ça été distribué »
a- cette phrase appartient au registre familier.
b- La distribution dont on parle dans la pièce est le rôle que donne la tragédie
à chacun des personnages de la pièce. Personne ne pourra échapper à son
destin. Les personnages eux- mêmes sont considérés comme des outils
entre les mains de la fatalité.
6- a- Antigone ne voulait pas réellement mourir.
b- le mode conditionnel du verbe « vouloir» exprime un souhait qui ne peut se
réaliser.
7*



Traits de caractère

Antigone
Impulsive
entêtée

Ismène
Pondérée
Raisonnable
8- a- Les trois refus:
- refus de réfléchir.
- refus de comprendre.
- refus de donner l'exemple.
b- d'après ces refus elle cherche à mourir, croyant à la fatalité à laquelle elle ne
peut échapper.
9- les mots « coin» et « trou »
Coin = prison
Trou = la tombe

II - Production écrite
Il va sans dire que la famille est la base de la vie sociale et assure
la continuité de l'espèce humaine. Partant de cela, on peut dire que la
famille est une forme de rapports sociaux elle s'efforce d'établir une
harmonie entre ses éléments qui la constituent.
Or, cette continuité ne se fait pas sans crise.
Laquelle crise est considérée aussi bien par les psychopédagogues que les
sociologues comme évidente.
La famille est censé apporter au jeune la sécurité et la tendresse qui
le protègent des dangers du monde extérieur, contre lequel il n'est pas
encore immunisé, assurer sa sécurité, cimenter sa personnalité et le
garantir contre les épreuves. Mais cela ne saurait cacher le revers de
la médaille, c'est-à-dire, les conflits, les angoisses, les
incompréhensions etc...
Les parents ne cessent de se plaindre de leurs enfants, ils les accusent
d'être à l'origine de conflits pensant' que leurs parents sont dépassés
et que la conception que se font ces derniers de la vie est révolue et
que la réalité actuelle est totalement différente d'autrefois.
Les jeunes se croient aptes à avoir la possibilité de gérer leur vie
comme il leur convient. Ils se conduisent comme s'ils étaient munis de
toute expérience susceptible de les mettre à l'abri des difficultés de
la vie. Ils considèrent, par exemple, l'intervention de leurs parents
dans le choix de leurs vêtements, de leurs ami(e)s comme une ingérence
dans leur vie privée, dans leur intimité.
On pense que l'ouverture de la société, les moyens modernes de communication,
le développement des médias.. .ont rendu plus rapide la maturation de
ces jeunes et a accéléré leur épanouissement. Ainsi, ils sont persuadés
qu'ils sont capables de gérer leur vie sans le concours de leurs parents
dans un monde devenu plus complexe, plus dangereux à tous les niveaux.
Néanmoins, il existe des parents qui se montrent excessivement
autoritaires, ignorant que le jeune traverse une étape décisive de sa
vie, qu'il est en pleine mutation. Cette étape se caractérise par des
transformations aussi bien physiologiques que psychologiques.
Les parents qui ignorent ce processus ne font que creuser davantage
l'écart qui existe déjà entre eux et leurs enfants. Cela provoque
inéluctablement des conflits de générations chroniques et profonds. Cela
pourrait, sans doute, engendrer la dis******** de la cellule familiale,
dans une époque où l'on a besoin beaucoup plus de soutien et de
solidarité.
Il faut reconnaître que nous assistons au début du déclin
de l'autorité parentale. Ainsi, s'est constituée, entre l'enfance et
l'âge adulte, une sorte de «no man's land» une sorte de classe d'âge,
qui aussitôt divorçant d'avec l'âge de l'enfance, tente, tant bien que
mal, de prendre son destin en main.
Le jeune dans sa famille se sent, malgré lui, tiraillé
entre deux besoins diamétralement opposés, à savoir le besoin de
sécurité et le besoin d'autonomie et d'indépendance.
Il est regrettable de dire que les parents ne jouent plus
le rôle qui ils jouaient avant et que les commandes et les rênes de la
famille leur échappent cédant ainsi l'initiative à ce que l'on appelle
communément l'ouverture au nom du« modernisme ». On dirait que les
parents ne sont devenus que des personnes qui doivent se charger des
dépenses de leurs enfants, régler des factures, payer les mensualités
des écoles etc. ..Ils ne sont plus, malheureusement, les initiateurs,
les conseillers. Ils sont devenus une ancienne devise qui n'est plus ni
négociable ni commerciable.
En attendant que ces jeunes retrouvent leur sagesse et
leur bon sens, les parents doivent être patients face à des sujets
emportés par le courant d'un« pseudo-modernisme » qui pourrait détruire à
jamais les normes sur lesquelles repose la famille.
C'est une erreur fatale de croire que, quelle que soit l'époque, les jeunes peuvent se passer des parents, ou peuvent mener seuls la barque sans problèmes

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